18.03.2015


Du 18 au 20 Mars, se tiendra la 5ème conférence de presse internationale "Au pied d’Ararat " à Erevan. L’ordre du jour de la conférence sera le Génocide des Arméniens en Arménie occidentale et dans les autres régions de l'Empire ottoman.

Les directions thématiques de la conférence, intitulée «Je me souviens et j’exige" sont: la mémoire, la gratitude, la lutte internationale pour la reconnaissance du Génocide arménien, la renaissance. Les événements de la commémoration du 100ème anniversaire du Génocide arménien se passent avec ces quatre principes. La conférence a recueilli des représentants de la presse internationales de différents pays, des chercheurs, des figures sociales et politiques. Elle sera une plate-forme pour la discussion sur l’histoire, la reconnaissance du Génocide arménien,sur la responsabilité et la prévention des crimes futurs, ainsi que sur le négationnisme du Génocide, sur la destruction des valeurs culturelles, et sur d'autres questions.

"La question du Génocide arménien est dans la mémoire historique du peuple arménien. Chaque famille arménienne a son histoire. L’histoire du Génocide concerne à tout le monde et ainsi la question est actuelle pour tous: "a déclaré le chef d’état-major du Président Viguen Sargsyan, lors de la conférence “Au pied du mont Ararat".

Il a souligné que,même aujourd'hui, cent ans plus tard, la Turquie continue à nier le Génocide arménien, tandis que celui-ci n’est pas fini tant qu'il n'a pas été reconnu et condamné.

"La lutte internationale doit être contre le crime contre l'humanité. Nous parlons du Génocide,pas parce qu'il nous fait plaisir, mais en tant que nation qui a survécu au génocide. Nous devons aider la communauté internationale pour garder la question au centre de l’attention.

Aujourd'hui, la Turquie continue à nier le crime de cent ans. C’est une politique hostile. La Turquie affiche l’attitude hostile dans toutes les organisations internationales et protège toutes les initiatives anti-arméniennes de l'Azerbaïdjan. L’histoire du Génocide n’est pas encore finie, parce que ce crime se répète aujourd'hui. C’est pourquoi nous devons continuer à en parler et discuter ", a dit Viguen Sargsyan.