LE RESPONSABLE D’UN DÉPARTEMENT DU MIGA A ÉTÉ RÉÉLU MEMBRE DU CONSEIL DE L’ASSOCIATION INTERNATIONALE DES CHERCHEURS EN GÉNOCIDE ET A PARTICIPÉ À LA CONFÉRENCE DES SAVANTS DE GÉNOCIDE AU CAMBODGE
De 14 à 17 juillet lors de la conférence intitulée "Image qui disparaît ; réévaluation de l’étude et de la prévention des génocides", qui s’est tenue à l'Université américaine de Phnom Penh, au Cambodge, Ph. D. Sourèn Manoukian, responsable du département des études comparatives sur les génocides du MIGA, a présenté le rapport "L’histoire des études sur le génocide des Arméniens et les tendances modernes".
La conférence était organisée par le Centre d'études sur l'Asie du Sud - Est de la même université et le Centre d'études sur le génocide et les droits de l'homme de l'Université Ratgers des États-Unis.
La conférence a rassemblé plus d'une centaine de chercheurs du monde entier, qui se sont principalement concentrés sur le présent et les perspectives du développement des études des génocides.
Lors de la 14e conférence de l’AICG s’est ténue l’élection des membres du conseil de l’Association internationale des chercheurs en génocides, en résultat de laquelle Sourèn Manoukian a été réélu membre du conseil de l'Association internationale des chercheurs en génocide (pour une date de 2019-2021) et Henri Tério qui étudie le génocide des Arméniens, a été réélu président de l’AICG.
Le Conseil est composé de six membres et coordonne les travaux de ce plus grand réseau mondial de chercheurs en génocide, avec le président, deux vice-présidents et un trésorier de l’AICG.
Rappelons qu'en 2015 la conférence de l'Association internationale des chercheurs en génocide a été organisée par le Musée-institut du génocide des Arméniens :
http://www.genocide-museum.am/arm/09.07.2015-opening.php
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Nous aimerions vous informer qu'en 2019 au Cambodge est célébré le 40e anniversaire de la démission du pouvoir des Khmers rouges. 2,5 millions de personnes ont été victimes du génocide perpétré dans le pays sous le règne des Khmers rouges (1975-1979).