06.04.2021
Dans le cadre d'initiatives pour étudier les violences de masse et les actes génocidaires contre les Arméniens en Artsakh, au Nakhitchevan et dans les régions à peuplement arménien de l'Azerbaïdjan aux XX-XXI siècles, le 26 février, le Musée-Institut de Génocide des Arméniens avait annoncé la vacance de trois chercheurs.
À l'issue du concours organisé le 24 mars, trois chercheurs ont été élus : Naïra Sahakian, Gaïané Hovhannissian et Haïastan Martirossian.
Naïra Sahakian a soutenu sa thèse de doctorat à l'Université d'Amsterdam, elle est auteur de deux monographies : “Muslim Reformism in Daghestan: Islamic Politics and Muslim Education after the Russian Revolution” (« Le réformisme musulman au Daghestan. Politique islamique et éducation musulmane après la révolution russe ») et « Empires effondrés, rêves soviétisés. Perceptions de l'intelligentsia arménienne sur la révolution de 1917 et la vision de l'avenir de l’Arménie » (à paraître en 2021).
Gaïané Hovhannissian est diplômée de la faculté d'histoire de l'YSU. Elle poursuit ses études au cours de troisième cycle de la Chaire d'histoire arménienne de la même faculté avec le thème suivant : "L’image démographique de la région autonome du Haut-Karabakh en 1923-1989".
Haïastan Martirossian est diplômée de la faculté des relations internationales de l'YSU, puis a poursuivi ses études dans le cadre du programme de master « Études du génocide » de l'Institut d'études arméniennes de l'YSU.
Félicitations à nos trois chercheuses, nous leur souhaitons un travail fructueux pour présenter la question de l'Artsakh à une large communauté scientifique internationale.
Naïra Sahakian
Gaïané Hovhannissian
Haïastan Martirossian